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10 infos sur le D.C. United

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Pour célébrer la Fête du Canada, l’Impact jouera aux ambassadeurs et recevra le représentant de la capitale étasunienne, le D.C. United, au Stade Saputo à 19h (TVA Sports, TSN, 98,5fm, TSN Radio 690). Voici 10 infos sur le Noir et Rouge.
Contexte du match

Rien ne va plus pour D.C. United, qui a disputé six matchs en juin, incluant un huitième de finale de la Coupe des États-Unis mercredi – une défaite de 2-1 aux mains du New England Revolution. Les Washingtoniens présentent la pire attaque de la ligue, avec 12 buts marqués en 17 rencontres. Défensivement, ce n’est pas la fin du monde, avec 25 buts alloués, mais c’est véritablement devant le but que les soucis naissent pour l’équipe de Ben Olsen, surtout en l’absence du milieu offensif Rob Vincent et de l’attaquant titulaire Patrick Mullins. United se crée peu de chances de marquer – au 18e rang de la MLS à ce chapitre – et, encore plus problématique, ne convertit que 40% de ses grosses opportunités. Ainsi, les visiteurs de samedi ont marqué uniquement trois buts contre des équipes de la première division nord-américaine ce mois-ci.


Forme du moment (toutes compétitions confondues)
D-D-V-D-V-N
Entraîneur-chef
Ben Olsen (80-96-57 à la barre de D.C. United et en carrière en MLS) est entraîneur-chef de D.C. United depuis le 29 novembre 2010. D’abord entraîneur-adjoint à D.C. sous Curt Onalfo, Olsen a remplacé ce dernier sur une base intérimaire du 5 août 2010 jusqu’à sa nomination officielle, à l’âge de 33 ans seulement. Milieu de terrain prometteur dans sa jeunesse et finaliste aux plus grands honneurs universitaires, Olsen a été nommé Recrue de l’année 1998 en MLS après avoir atteint la finale de la Coupe MLS avec D.C. United. Cette saison a donné le ton d’une grande carrière marquée de deux Coupes MLS, au cours de laquelle Olsen est devenu un des personnages les plus importants de l’histoire du club. Exclu des séries de la Coupe MLS à sa première saison comme entraîneur-chef, Olsen a mené l’équipe à son premier tournoi d’après-saison en cinq ans, atteignant la finale d’association. La saison 2013 a donné à Olsen les meilleures et les pires émotions à la fois, puisque son équipe a terminé au tout dernier rang de la MLS, mais a soulevé la Coupe des États-Unis après une victoire de 1-0 en finale contre Real Salt Lake. Olsen a toutefois été nommé Entraîneur de l’année 2014 en MLS après avoir ramené United au premier rang de l’Est.
Meilleur buteur actuel
Luciano Acosta (4)
Joueurs à surveiller
1. Sébastien Le Toux (#11) – Le grand Français de 33 ans a beaucoup d’expérience en MLS et sa polyvalence lui permet d’exploiter des espaces sur l’aile et au centre.
2. Lamar Neagle (#13) – L’ex-IMFC, titularisé mercredi soir, pourrait jouer de nouveau au Stade Saputo samedi. Dribbleur compétent, il fait aussi du bon travail du côté défensif.
3. Steve Birnbaum (#15) – Une peste sur les phases arrêtées, le défenseur central a l’habitude de se libérer au deuxième poteau et de sauter plus haut que tout le monde.
Profil d’équipe

Voici ce qu’écrivait Impact Média le 26 octobre 2016 : « Installés en bloc bas avec, le plus souvent, Marcelo Sarvas en sentinelle devant le quatuor défensif, les Noir et rouge cherchent à se projeter rapidement vers l’avant, que ce soit pour une transition rapide (particulièrement en début de saison) ou pour souffler un coup et écarter le jeu pour centrer, particulièrement par l’intermédiaire de Lamar Neagle, de Patrick Nyarko ou de Lloyd Sam. Les aptitudes de Neagle et de Sébastien Le Toux dans les airs donnent à United une raison d’espérer qu’un long ballon devant peut être productif. Les individualités peuvent ensuite ressortir, avec Sam qui est redoutable en un contre un et Luciano Acosta, dont la qualité de centre et de passe est précieuse. Défensivement, D.C. United a beaucoup péché sur phase arrêtée en début de saison, ce qui n’a rien d’étonnant puisque les joueurs aiment aller au duel. Dans le cours du jeu, le côté du vétéran Sean Franklin tient mieux le coup que celui de Taylor Kemp, mais de manière générale, l’équipe s’est beaucoup améliorée sur le plan défensif au cours de la saison. »


En 2017 :

<span class="s1"><b>Tirs cadrés*</b></span>
<span class="s1"><b>Buts marqués de l’intérieur de la surface</b></span>
<span class="s1"><b>Buts marqués de l’extérieur de la surface</b></span>
<span class="s1"><b>Buts marqués de la tête</b></span>
<span class="s1">20e (68)</span>
<span class="s1">22e (10)</span>
<span class="s1">=13e (2)</span>
<span class="s1">=21e (0)</span>
<span class="s1"><b>Possession (%)</b></span>
<span class="s1"><b>Conversion des grosses occasions (%)</b></span>
<span class="s1"><b>Passes réussies dans le dernier tiers (%)</b></span>
<span class="s1"><b>Duels gagnés (%)</b></span>
<span class="s1">20e (44,1%)</span>
<span class="s1">21e (40%)</span>
<span class="s1">22e (57,6%)</span>
<span class="s1">22e (45,6%)</span>

*Toutes les données proviennent d’Opta
Schéma tactique
À travers vents et marées, Ben Olsen ne déroge pas du 4-2-3-1, véritable identité de son D.C. United depuis l’an dernier. Alignement contre New England Revolution (US Open Cup, 28 juin) : Worra; Korb, Franklin, Robinson, Odoi-Atsem; Harkes, Jeffrey; Neagle, Buescher, Le Toux; Ortiz.
Derniers matchs contre l’Impact
Après une rencontre tumultueuse en match de barrage des séries éliminatoires de la Coupe MLS en 2016, que le Bleu-blanc-noir a remportée 4-2, les Montréalais ont visité de nouveau le vétuste RFK Stadium en mai, y tirant leur seule victoire à l’étranger cette saison par le score de 1-0.
Blessures, absences et convocations (au 29 juin)
G Bill Hamid (USMNT)
D Bobby Boswell (aine)
D Nick DeLeon (abdomen)
M Rob Vincent (genou)
A Patrick Mullins (genou)
Prochains matchs
FC Dallas v D.C. United (MLS, 4 juillet)
Seattle Sounders FC v D.C. United (MLS, 19 juillet)
D.C. United v Houston Dynamo (MLS, 22 juillet)