23 avril 2006
« Est-ce que le soleil floridien tend à échauffer les esprits? » La question que pose Sophie Allard dans La Presse est légitime : l’Impact fait match nul chez le Miami FC ce dimanche après-midi-là, et si aucun but n’est marqué, 32 fautes sont cependant commises. Les deux équipes peinent à garder leur sang-froid – surtout avec cette chaleur. Ça s’engueule. Ça se chamaille. Ça se cogne, parfois – Zé Roberto est coupé sous l’œil, et Masahiro Fukasawa est touché à la cheville. Malgré tout, le Bleu-blanc-noir n’encaisse pas. Greg Sutton réussit un 59e blanchissage pour le club. « Miami jouait contre la meilleure défensive de la ligue et on leur a montré », se félicite l’entraîneur-chef Nick De Santis. Ses hommes n’accorderont en effet que 15 buts en 28 matchs de saison régulière cette année-là.
25 avril 2010
Avant de se rencontrer une fois par an en MLS, l’Impact et les Portland Timbers pouvaient croiser le fer à deux ou trois reprises chaque saison, voire plus, en deuxième division. L’année du titre de 2009, le Bleu-blanc-noir avait été battu et blanchi trois fois par Portland, souligne Pascal Milano dans La Presse. Un brin revanchard, l’Impact reçoit les Timbers pour son ouverture locale et passe bien près de se faire faire le coup, encore. Mais son nouveau capitaine, le défenseur Nevio Pizzolitto, n’a pas l’intention de laisser les visiteurs s’en sortir aussi facilement. Lorsque Kirk Quavas fait faute sur Roberto Brown dans la surface à la 81e minute, Pizzolitto se lève et prend le penalty, qu’il convertit. L’Impact fait match nul 1-1 devant une salle comble.
