L’Impact a atteint la mi-chemin de sa deuxième saison en MLS, dimanche soir, suite à son duel contre Chivas USA. Malgré sa récente séquence de trois matchs sans victoire, il est difficile de ne pas noter les améliorations drastiques de l’équipe en 2013.
L'Impact a débuté avec une victoire à Seattle
Au premier rang de l'Est
En regardant le classement de l’Association Est, on constate que l’équipe qui trône au premier rang est celle de la belle province.
En 17 matchs, l’Impact a récolté 31 points avec un dossier de 9-4-4 et se situe un point devant le Sporting Kansas City, avec deux matchs de moins de disputés. Au même moment l’année dernière, l’équipe montréalaise affichait un dossier de 5-8-4 et 13 points de moins, tentant de s’accrocher à la 5e position du classement de l’association.
Les deux Marco
Une des principales raisons de ce progrès est certainement la présence de Marco Schällibaum sur la ligne de touche. L’entraîneur-chef suisse a été en mesure de créer cette cohésion dans l’équipe qui était absente en 2012 grâce à son leadership, sa mentalité gagnante et sa forte personnalité.
En 2013, le Joueur désigné de l’Impact Marco Di Vaio est à égalité au premier rang des buteurs avec 11 réalisations en 17 matchs. Pas besoin d’ajouter que Di Vaio aura amplement de temps pour améliorer son record d’équipe avec 17 autres matchs à jouer.
L'équipe a remporté la Coupe des Voyageurs à Vancouver
Champion canadien
L’Impact n’avait pas bien performé en championnat canadien en 2012, s’inclinant face au Toronto FC en demi-finale. Cette année, l’Impact est revenu de Vancouver avec la Coupe des Voyageurs, ayant notamment blanchi TFC par la marque de 6-0 au Stade Saputo.
Les discussions au sujet du match des étoiles étaient au calme plat à Montréal la saison dernière, alors que cette année Di Vaio, Bernier, Ferrari, Felipe, Mapp et Perkins sont tous en lice pour affronter l’AS Roma, le 31 juillet, à Kansas City.
Malgré quelques nuages noirs présentement dans le ciel de l’Impact, le soleil brille toujours au sommet de la montagne.
